dimanche 27 avril 2014

Jonah ( Taï-Marc Le Thanh) tomes 1 et 2


Tome 1 : les Sentinelles


    Détails sur le produit
  •  Jonah  ( Taï-Marc Le Thanh) tome 1: les Sentinelles
  • Broché: 448 pages
  • Editeur : Didier Jeunesse (23 octobre 2013)
  • Collection : Fiction
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2278059297
  • ISBN-13: 978-2278059294




Résumé: 
Pour Jonah la vie ne commence pas sous les meilleurs auspices. Il naît sans mains, frôle la mort et perd sa maman.
Mais heureusement, Jonah a la chance d’être envoyé dans l’orphelinat de Mr Simon. Un Mr Simon qui veut le bien-être des enfants qui sont placés sous sa responsabilité. Et c’est donc une enfance plutôt heureuse que va vivre Jonah. Il se lie d’amitié avec 3 autres garçons (Steve, Fillipus, Robert) et aussi avec la belle mais silencieuse Alicia.
Tout semble aller pour le mieux jusqu’à ce qu’un homme se présente en affirmant qu’il est son père et l’emmène….chez les Sentinelles….
Un départ qui n’est pas du goût de ses jeunes amis…

Mon avis.
Voila un premier tome de saga bien prometteur. Tout concourt à  donner envie de lire la suite…
Les personnages d’abord qui sont attachants. Jonah bien sûr est un garçon gentil, mais j’ai été séduite aussi par sa curiosité à la fois pour le monde qui l’entoure mais aussi pour ceux qui partagent sa vie, par sa capacité de ne pas faire de son handicap un sujet d’apitoiement.
Mr Simon, en directeur d’orphelinat prêt à tout pour le bien être de ses ouailles, avec de l’humour, et surtout une grande ouverture d’esprit. Le trio Steve, Fillipus et Robert m’a fait sourire par ses remarques et son dévouement à leur ami Jonah.
Il y a aussi le personnage de Draco Mulhman, le jardinier à la personnalité trouble : est-il gentil ou méchant ? Quoi qu’il en soit, il a éveillé ma curiosité….
L’atmosphère dans laquelle l’auteur nous plonge est agréable : pas de rose bonbon dans l’orphelinat  et de noir à l’extérieur. Chaque personnage a sa personnalité, en relief  et réagit comme il peut aux évènements auxquels il est confronté.  Nous ne sommes pas au pays des Bisounours et les enfants restent des orphelins….
Enfin les étapes de l’histoire, les allers retours entre le passé et le présent des personnages s’enchaînent de façon fluide grâce à une écriture claire et agréable. 
J’ai vraiment passé un bon moment de lecture.
Je mentionne au passage les magnifiques illustrations de la couverture.

Merci beaucoup à l’auteur pour son envoi !!!!!



Jonah Tome 2 : le retour du Sept ( Taï-Marc Le Thanh)


 


  •  Jonah) Tome 2 : le retour du Sept ( Taï-Marc Le Thanh)
  • Broché
  • Editeur : Didier Jeunesse (14 mai 2014)
  • Collection : Fiction
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2278059300
  • ISBN-13: 978-2278059300



Résumé :
A la fin du tome 1 nous avons laissé Jonah avec ses voix A et B  de retour à l’orphelinat.
Dans ce tome 2 : ’on fait connaissance du Sept, de son passé. On comprend le lien entre le Sept et les Sentinelles. On découvre aussi ce qui se passe quand Jonah sort de l’orphelinat, et les suites de ce qu’a fait le docteur Wilbur quand Jonah était chez les Sentinelles.

Mon avis :
Difficile de faire un résumé sans révéler certains évènements du Tome 1.
J’avoue avoir préféré ce tome au premier.
Alors que le tome 1 se devait de poser le cadre de l’histoire, de présenter les personnages, ce tome-ci leur donne plus de relief. Chacun, nous montre un peu plus « ce qu’il a dans le ventre » (excusez-moi l’expression). On les voit plus agir, et avec les éléments qui nous ont été donnés dans le tome un on peu mieux comprendre leurs façons de penser, d’agir. Je me suis sentie plus proche de certains que d’autres dans cette histoire. Le personnage de Draco Mulhman demeure énigmatique, mais on le comprend mieux.
J’ai aussi beaucoup aimé le personnage du Sept, et de la petite mamie. Je trouve que pour une fiction à destination d’enfants, les personnages adultes sont vraiment bien travaillés.
Oui à la réflexion je crois que ce que j’aime beaucoup dans cette sage, c’est qu’il n y’ a pas d’opposition du type : les adultes sont méchants et les enfants gentils. Chaque personnage a ses bons et ses mauvais cotés.

L’écriture demeure fluide, agréable à lire. Un bon moment de lecture qui me fait attendre la suite avec impatience !
Il me tarde de savoir plus de choses sur Mr Simon, sur le pourquoi de l’organisation des Sentinelles, sur le devenir de cette organisation ; sur le Draco Mulhman….. vite vite la suite !!!!!!!!!!!!!!!!

samedi 26 avril 2014

Central Park ( Guillaume Musso)




Détails sur le produit

  •  Central Park ( Guillaume Musso)
  • Broché: 400 pages
  • Editeur : XO (28 mars 2014)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2845636768
  • ISBN-13: 978-2845636767



Fermez les yeux et imaginez :
Vous vous réveillez sur un ban, au milieu de nulle part, sans le moindre souvenir de ce que vous avez fait la veille. Et comme si cela ne suffisait pas , vous êtes menottée à un inconnu ( certes plutôt sexy mais bon…. ), il y a du sang sur votre chemisiez, et un pistolet qui ne vous appartient pas dans votre poche…
Que feriez-vous ?

C’est ainsi que commence le dernier livre de Guillaume Musso. Et pour ma deuxième lecture d’un livre de cet auteur, je me suis de nouveau laisser prendre.
Loin d’être une belle romance, suintant de bons sentiments, c’est un thriller efficace ( j’en ai même fait des cauchemars ! ) avec suspens, rebondissements multiples le tout écrit dans un style entraînant.

Le seul hic de ce livre est la fin. En effet, une chute différente, ou la même mais amenée différemment en aurait fait un coup de cœur pour moi !    

Quoi qu’il en soit,  je fais une spéciale dédicace au gentil petit lapin ( qui se reconnaîtra) qui me l’a apporté à Pâques : merci encore !!!

Je le rajoute au  challenge thriller et polars  si l’intiateur du challenge est d’accord.
0 Challenge Thrillers & Polars 2014 Liliba 4

Les brumes de l’apparence (Frédérique Deghelt)





  •  Les brumes de l’apparence (Frédérique Deghelt)
  • Broché: 372 pages
  • Editeur : ACTES SUD (5 mars 2014)
  • Collection : ROMANS, NOUVELL
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2330030231
  • ISBN-13: 978-2330030230



Résumé sur www.babelio.com

Quand un notaire de province lui annonce qu’elle hérite d’une masure au milieu de nulle part dans l’isolement d’une forêt, décidée dans l’instant à s’en débarrasser, Gabrielle (Parisienne, quarante ans), s’élance sur les routes de France pour rejoindre l’inattendu lieu-dit, signer sans état d’âme actes de propriété et autres mandats de mise en vente, agir avec rigueur et efficacité.
Un paysage, un enchevêtrement d’arbres et de ronces à l’abandon, où se trouve blottie depuis des décennies une maison dont une seule pièce demeure à l’abri du ciel, dix hectares alentours, traversés par le bruissement d’une rivière et d’une nature dévorante. Tel est le territoire que découvre Gabrielle, insensible à la beauté étrange voire menaçante des lieux, après des heures de route.
Contrainte de passer la nuit sur place, isolée, sans réseau téléphonique, Gabrielle s’endort sans avoir peur. Mais son sommeil est peuplé de rêves, d’odeurs de fleurs blanches et de présences.
Dans les jours qui suivent, toutes sortes de circonstances vont l’obliger à admettre ce qu’elle refuse de croire : certains lieux, certaines personnes peuvent entretenir avec l’au-delà une relation particulière. Gabrielle en fait désormais partie : elle se découvre médium.

Mon avis

J’ai beau avoir laissé passer quelques jours, je ne sais toujours pas comment résumer ce livre.
Ce que je peux faire c’est commencer par  vous dire ce que vous ni trouverez pas : un livre sur les fantômes, ou les maisons hantées ou une histoire de règlement de compte familial….

 Car malgré  ce qu’en dit la quatrième de couverture, pour moi ce livre est plus qu’une simple histoire d’héritage ou de médium… C’est un livre qui traite de notre rapport aux autres, de notre capacité à les accepter comme ils sont, avec leurs doutes, leurs capacités si extra-ordinaires nous semblent-elles.
C’est un livre qui nous interroge sur les relations que l’on peut créer amicales, amoureuses, familiales, sur ce que l’on y cherche, ce que l’on y trouve et où ce que l’on croit y trouver.
 Il parle de notre façon d’envisager le monde, la nature : quelles relations a-t-on avec cette nature ? Prenons-nous le temps de vraiment l’observer, de l’écouter, de la sentir,  de l’apprivoiser ? Et quelles relations avons-nous avec notre passé et notre avenir ? Avec nos ancêtres vivants ou morts ?

Je pourrais en rajouter encore mais je préfère vous conseiller de le lire. Attention, il est dense, intense. Chaque ligne ou presque interroge, beaucoup de remarques sont des claques dans la figure, amenant à se remettre en question. Mais je ne regrette pas d’avoir mis le nez dedans !
Merci aux différents blogs, grâce à qui j’ai eu envie de dépasser le résumé de l’éditeur, et de me risquer à dissiper les brumes de l’apparence.

Citations:

«  Le monde le plus étrange n’est pas celui dans lequel nous vivons, mais celui que nous avons crée. »

«  C’est au moment où l’on a le plus besoin d’eux que nos amis manifestent la plus grande envie de fuir. »
« Quelle que soit la discussion, ce sont décidément chiffres qui tiennent lieu et place d’émotions. »
«  Ce que je déteste de ce que j’ai vécu, c’est ce qui m’échappe, ce que je ne peux contrôler. »

«  Nous sommes partis sur une route ou ce qui n’est pas explicable est indigne d’être cru. Nous avons lié comprendre et croire, savoir et choisir, expliquer et agir. »

«  En ne faisant plus attention à la vie, à ce qui m’entoure, à ce qui se dit dans ce qui ne parle pas, je ne me suis même pas rendu compte que tout était un cadeau. »

«  Comme si j’avais mis, malgré moi, les pieds dans un monde dont il est difficile de revenir même quand on décide de ne pas y rester. »

« Quand vous vous fondez sur votre intuition, votre perception, comme je vous ai vu le faire depuis que nous explorons votre terrain, tout se passe à merveille. »
« Si l’on doit admettre que ce qui ne se voit pas n’existe pas et ne mérite pas de nom, alors notre naïveté est sans borne. »

« La vie est comme un tableau, on y voit ce qu’on ne croyait pas y avoir peint »

« Peut-on s’accuser de n’avoir pas été une personne dont on ignorait l’existence en soi ? »

«  Ce que j’ai compris, c’est qu’il ne suffit pas de s’en tenir à une croyance, à sa peur, à une porte à demi ouverte ou fermée. Il faut faire tomber les murs. Reconsidérer les choses autrement. »

« Découvrir l’invisible ou tout simplement être d’accord pour qu’il existe, était-ce remettre en cause ce qui se voit, occupe la place au détriment du reste ? »

«  Ce n’est pas un projet fou que celui de vivre bien avec les autres. Ca n’a pas de coût, ce n’est donc réservé à personne puisque ce n’est ni onéreux, ni hors de portée. C’est juste une décision, un désir, une impulsion, une prédisposition des êtres. »

« Ceux qui nous aiment nous parent de qualités immenses que nous n’avons surement pas mais qu’ils voient. »

«  Le doute est une chose terrible parce qu’on ne sait pas très bien comment il grandit ni à quel moment il fout en l’air toutes nos certitudes. »

mardi 22 avril 2014

La palette de l'ange ( Catherine Bessonart)



  •  La palette de l'ange ( Catherine Bessonart)
  • Broché: 288 pages
  • Editeur : EDITIONS DE L'AUBE (6 mars 2014)
  • Collection : L'Aube noire
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2815909243
  • ISBN-13: 978-2815909242
  • Dimensions du produit: 22 x 14,4 x 2,4 cm

Résumé:
Mis à part le fait qu’ils ont été tués avec des couteaux particuliers quel peut bien être le lien entre un gérant de sex-shop, un prêtre et une femme qui disparait…..
C’est l’énigme à laquelle est confronté le commissaire Chrétien Bompard. Et existe-il un lien avec le jeune adolescent qui s’est pendu quasiment sous ses yeux dans la forêt d’Orléans ?

Mon avis
Si je ne développe pas plus mon résumé de ce livre ce n’est pas parce que je ne l’ai pas aimé mais plutôt parce que je veux susciter votre curiosité. Je vous entends d’ici : «   bof, encore un polar », «encore un tueur en série… »..
Et pourtant non, ce polar est atypique.
D’abord par la langue utilisée par l’auteur. Je vous rassure, c’est du français, mais le style est très bon. Il allie l’humour, les références culturelles (je vous rassure pas trop poussées : même une ‘inculturée’ comme moi a pu suivre), les jeux de mots, le second degré…
Ensuite parce que les personnages m’ont beaucoup plus et en particulier celui du commissaire Bompard en particulier. Il est hanté par sa séparation avec sa femme. Il s’interroge sur le pourquoi, sur sa responsabilité….. J’ai été séduite par ce policier qui semble parfois «  s’absenter » dans ses réflexions (il est physiquement présent avec ses collègues mais sa tête est ailleurs) et par son humour.  
J’ai apprécié ses relations avec ses équipiers et particulièrement les scènes où ils cherchent ensemble, par le jeu des associations d’idées,  des pistes pour résoudre l’enquête ardue qu’ils ont a menée. Les apports de chacun sont considérés de la même façon.
Enfin, j’ai trouvé bien que la façon dont on suit toutes les pistes, même les fausses, avec l’équipe.
Et j’accord aussi une mention spéciale à la couverture qui est simple mais belle.
C’est un coup de cœur !!!!


Merci à  Virginie Jullion  pour cet envoi !
Je le rajoute pour le challenge thriller et polar.







petit bac 2014 - Copie (2)Il sera sur la ligne littérature, catégorie Objet du challenge petit bac 2014-04-22

vendredi 18 avril 2014

Je vous aime ( Marc Baron, Anna Obon)



 

  •  Je vous aime ( Marc Baron, Anna Obon)
  • Editeur : Bulles de Savon (6 mars 2014)
  • Collection : POETES EN HERBE
  • Langue : Français
  • ISBN-13: 979-1090597167
  • ASIN: B00HV70OP6
  • Dimensions du produit: 26,6 x 20,8 x 1 cm







COUP DE COEUR!!!! 

Le printemps revient, les jours s’allongent… Est-ce sa lumière plus claire, son ciel qui parait plus bleu qui nous rendent plus sensibles à la nature autour de nous, aux petites bêtes, aux fleurs, aux arbres ?
Je ne sais pas… mais l’album je vous aime est arrivé à point nommé dans ma boite aux lettres.
Avec de mots simples, Marc Obon nous invite à ouvrir plus grands encore les yeux à ce qui est autour de nous : les brins d’herbes, les animaux, le ciel, le soleil, la nature. Il nous invite à ressentir la beauté de tout cet environnement, et à prendre le temps. Prendre le temps de la regarder mais aussi de laisser résonner nos émotions, nos sensations. Prendre le temps de  se recentrer sur l’essentiel…
Voila un livre qui donne envie de re-goûter à des petits plaisirs tels que sentir l’odeur du lilas, de la glycine, écouter le roucoulement de la tourterelle, cueillir les pâquerettes dans les prés…
Ajouter à cela des illustrations simples mais magnifiques… et vous obtenez un petit bijou de douceur, de tendresse et de beauté !
Je ne peux m’empêcher de citer le poème qui ouvre cet hymne à la  beauté et à l’amour :
Aimer

verbe du premier groupe

et du premier amour

Il est petit le groupe

toi et moi

Rien que nous deux

ça fait bien peu

Mais rien que toi

c’est déjà tout »
Je le rajoute à la ligne enfant du challenge petit bac 2014 , catégorie verbe
Merci à Babélio et à son opération masse critique grâce à qui j'ai reçu ce livre!  

petit bac 2014 

mardi 15 avril 2014

L’ange sanglant (Claude Merle)




  •  L’ange sanglant (Claude Merle)
  • Relié: 240 pages
  • Editeur : MA Editions (23 avril 2014)
  • Collection : MI.MA EDITIONS
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2822403007
  • ISBN-13: 978-2822403009








Tout commence par un meurtre : une jeune fille enceinte est retrouvée torturée dans une grange, le ventre béant… Puis s’ensuit le meurtre d’un gitan voleur…
Et à chaque fois une phrase extrait d’un texte religieux est retrouvé sur la scène du crime.
Mais qui est donc le meurtrier ? Pourquoi tue-t-il ainsi ? Pourquoi, sur chaque scène de crime retrouve-t-on des fragments de peinture ? Et quel lien avec les tableaux du peintre Jérôme Bosch : sont-ce les crimes qui inspirent les tableaux (et dans ce cas, le peintre est-il le coupable ?) ou bien sont-ce les tableaux qui inspirent les crimes ? C’est à cette énigme que Jacob Dagmar, alchimiste et chirurgien de la ville d’Hertogenbosh, est confronté…. Dans la Hollande du XVI siècle, il est accompagné  dans ses interrogations par le bailli Pieter Van Ringen.
Mon avis :
Voila un livre riche en rebondissements qui m’a un peu fait penser au film Seven, car les sévices subies par les victimes révèlent leurs vices….
Mais un Seven transposé au XVI, où les personnages se déplacent à cheval (et donc où les relations le  cadre temporel est forcément plus long), où le docteur est considéré comme suspect car il utilise des cadavres pour améliorer ses connaissances scientifiques sur l’homme. J’ai beaucoup apprécié le suspens : il faut attendre la dernière page pour comprendre ce qui se trame, pour savoir qui sont les gentils et les méchants. Mais les méchants sont-ils vraiment méchants ? Et les gentils le sont-ils vraiment ?
Je n’ai pas ressenti d’empathie pour les personnages mais j’ai quand même bien aimé ce polar. J’aurai même aimé qu’il soit un poil plus long… pour justement que les personnages soient plus humains !
Je le rajoute pour le challenge thrillers et polars.
Merci à Mr Gilles Paris pour cet envoi ! 

lundi 14 avril 2014

Les derniers jours de Stefan Zweig (Guillaume Sorel ,Laurent Seksik)



Les derniers jours de Stefan Zweig - Guillaume Sorel;Laurent Seksik



  •  Les derniers jours de Stefan Zweig (Guillaume Sorel ,Laurent Seksik)
  • Code article : 9782203041769
  • ISBN : 9782203041769
  • Dewey : 741.5
  • Nombre de pages : 88



Après avoir découvert Guillaume Sorel avec Le horla, je poursuis l’aventure ….

Résumé de l’éditeur :
Après avoir fui le nazisme, Stefan Zweig et son épouse Lotte croient fouler au Brésil une terre d’accueil, loin du chaos qui embrase l’Europe. Mais la menace rôde jusqu’au fin fond de l’exil. Comment l’écrivain humaniste, rescapé du « monde d’hier », échapperait-il à ses démons ?


C’est une première pour moi, que de refermer une bande dessinée en étant émue.
Certes l’histoire de Stefan Zweig et de ses derniers jours est émouvante à la base. Mais les aquarelles de Mr Guillaume Sorel sont à couper le souffle. Les couleurs utilisées sont splendides. Les paysages de l’Amérique du Sud sont magnifiquement rendus, de même que les scènes dans les villes très réalistes. On pourrait presque croire à des photos.
Mr Sorel a un grand talent également pour dessiner des personnages expressifs. Il sait rendre évident la tristesse de Stefan Zweig, et de sa femme… Les émotions transparaissent clairement sur les visages, sur les corps des personnages, dans les traits et dans les jeux d’ombre et de lumière….
Les choix d’illustration de la dernière scène de l’histoire en font un moment plus qu’émouvant….
Un vrai coup de cœur !! Je n’ai pas beaucoup de bd mais je crois que celle va bientôt prendre place sur mes étagères (et oui…. il va falloir que je rende celle que j’avais prise à la médiathèque)

Le Horla (Guillaume Sorel)



Le horla - Guy de Maupassant;Guillaume Sorel
 

  •  Le Horla (Guillaume Sorel)
  • Code article : 9782369810117
  • ISBN : 9782369810117
  • Dewey : 741.5
  • Nombre de pages : 64





Résumé :
 Depuis quelques temps le narrateur se sent fatigué, oppressé. Il a une impression de mal-être latent.
Ses nuits ne sont guères récupératrices : il se réveille terrorisé avec l’impression qu’une créature lui écrase la poitrine.
Il prend la décision de changer d’air et part pour le Mont Saint Michel… il en revient apaisé mais une fois rentré…
Mon avis :
Si je me souviens avoir étudié Maupassant pour le bac de français en première (j’avais  Pierre et Jean comme œuvre intégrale et j’ai lu Une vie) je ne me rappelle pas avoir lu ou étudié Le Horla. C’est donc avec un œil neuf que j’ai abordé cette bande dessinée (merci aux divers bloggeurs/bloggeuses qui ont joué le rôle de tentateurs)…
Et j’ai été séduite.
Par la forme d’abord. Les illustrations à l’aquarelle sont tout simplement magnifiques. Les couleurs, les contrastes sont lumineux (les bleus profonds, les orangés dignes d’un coucher de soleil). Les personnages sont très bien représentés et on peut vraiment lire leurs émotions sur leurs visages.
Les paysages sont vraiment dignes des plus belles aquarelles d’artistes. Et tout cela est vraiment au service de l’histoire. On ressent les moments d’apaisement du personnage et aussi les moments de folie. Folie qui en est presque belle !
Une très très belle découverte !

dimanche 13 avril 2014

Le tueur intime (Claire Favan)





  • Le tueur intime (Claire Favan)
  • Poche: 636 pages
  • Editeur : Points (10 mars 2011)
  • Collection : Points Thriller
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2757821016
  • ISBN-13: 978-2757821015



Comment résumer ce livre ?
Avant tout, je conseille aux âmes sensibles de passer leur chemin…
Pour les autres…
Au départ il y a Will Edwards. Victime de maltraitances son père et ses « camarades » de classe, il est passé maître dans l’art de se rendre invisible, de se fondre dans le décor. Il s’entraine en épiant les parties de jambes en l’air du voisinage.
Et puis, arrive Samantha une belle brune aux yeux clairs. Et un jour, alors qu’il est agressé par un autre élève, Samantha prend la défense de Will.  Ils deviennent amis, mais alors que Will voudrait plus, Samantha ne voit rien de plus en lui qu’un ami.
Et le jeune garçon de 15 ans se fait une promesse, si Samantha ne veut pas être à lui de son plein gré, il va la forcer…..
Mon avis :
Plus qu’une enquête policière, c’est à la naissance d’un tueur en série que l’on assiste dans ce livre.
On pourrait presque couper ce livre en deux parties.
 D’abord, on assiste à l’enfance, à l’adolescence et aux premiers crimes de Will. Placé dans sa tête, le lecteur suit ses réflexions pour « s’améliorer », pour satisfaire aux mieux ses pulsions criminelles, son besoin de faire du mal, la jouissance qu’il éprouve à faire souffrir. (D’où mon conseil d’éloigner les âmes sensibles).
Dans une deuxième partie, la police rentre en jeu. Nous faisons la connaissance du profiler RJ Scanlon. Les enquêteurs du FBI piétinant dans la recherche du tueur en série  baptisé le Fétichiste, leur chef fait appel à Scanlon pour avoir un œil neuf sur l’enquête et établir un nouveau profil….
Alors que d’autres polars se déroulent sur quelques mois, celui-ci ce déroule sur plusieurs années, ce qui le rend de plus en plus intense car l’atrocité des crimes  et la violence de Will augmente.
Claire Favan ne s’embarrasse pas de sentimentalisme, ou de violon. Elle décrit les meurtres commis avec presque froideur, les rendant encore plus horribles. Ni détails sordides ni blabla ne sont de mise,ce qui rend son style très efficace !
Un véritable coup de cœur (et au cœur !)
Je rajoute ce livre au challenge thriller et polars.
0 Challenge Thrillers & Polars 2014 Liliba

mercredi 9 avril 2014

Une ombre au tableau (Joseph Hone)




  •  Une ombre au tableau (Joseph Hone)
  • Broché: 320 pages
  • Editeur : BAKER STREET EDITIONS (18 avril 2014)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2917559411
  • ISBN-13: 978-2917559413


Ben Contini, vient de perdre sa mère. Aux funérailles il rencontre une femme, Elsa, qui ressemble de façon troublante à sa dernière petite amie qui s’est suicidée il y a peu. Elsa affirme que son père, mourant lui à parler d’un lien qui existerait entre leurs deux familles.
 En fouillant dans les affaires de son père, il découvre un « nu » magnifique de Modigliani au milieu de ses propres tableaux (Ben est peintre). Comment son père a-t-il acquis ce tableau ? Et quel lien existe-il entre le tableau et la liste d’objets et d’œuvres d’art découverte dans le tiroir secret d’un meuble de sa mère ?
Ben et Elsa vont se lancer sur la trace de leur père et croiser la grande histoire.

Mon avis.
Voila un livre qui me laisse mal à l’aise.
J’ai choisi de le recevoir parce que l’histoire éveillait ma curiosité. Je m’interrogeais sur la façon dont l’auteur allait traité le sujet du trafic d’œuvres d’art même si je me doutais du lien entre le tableau, la jeune femme….)
J’ai été déçue car j’ai trouvé le lien un peu gros et mal «  utilisé » et mis en valeur.  En effet, pendant un certain nombre de pages, la narration se focalise sur une autre  histoire (histoire que j’ai trouvé sans grand intérêt pour le reste de l’histoire). Je  pense, de plus, qu’elle fait perdre l’intérêt du lecteur pour l’histoire du tableau ; et elle n’apporte pas grand-chose sur la psychologie du des personnages, ou à la quête de l’origine du tableau.
Je n’ai pas vraiment eu la sensation d’assister à des coups de théâtre ou à vivre un suspens haletant.
L’auteur, à travers cette histoire cherche aussi à interroger le lecteur sur la place que l’on doit faire au passé dans notre présent. Est-il vraiment  nécessaire de tout savoir sur l’histoire de nos parents ou grands parents ? Que «  faire » de ce que l’on découvre sur eux si cela va à l’encontre de nos croyances ou de l’image que l’on avait d’eux ? Doit-on taire certaines choses aux gens que l’on aime ? Si oui, quoi ? Comment se reconstruire après une rupture douloureuse ou incomprise.
Tous ces questionnements sont intéressants mais délayés dans l’enquête, enquête elle-même délayée et pas assez intense à mon goût. Pour en couronner le tout, j’ai eu du mal à ressentir de l’empathie pour les personnages.
Je reste vraiment sur ma faim quant à ce livre.
Merci à Mme Virginie Jullion et aux Editions Baker street pour l’envoi.

dimanche 6 avril 2014

Parfois on tombe ( Solène Bakowski)





  •  Parfois on tombe ( Solène Bakowski)
  • Broché: 224 pages
  • Editeur : FAVRE (23 janvier 2014)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2828913902
  • ISBN-13: 978-2828913908




Mon résumé
Sarah rentre chez elle. A reculons… Elle sait que désormais plus rien ne sera comme avant.
Avant elle était une enseignante, mariée depuis 7 ans à Lucas et mère de Louise.
Oui mais c’était avant, avant que tout ne bascule et qu’ils ne disparaissent…. la laissant seule.
Que faire  de son existence, de ses heures, de ses jours maintenant. Revenir en arrière n’est plus possible, il faut apprendre à vivre avec l’absence.
Et puis , dans le métro elle entend une chanson chinoise qui la touche là où elle  croyait ne plus rien ressentir. Et revient à sa mémoire des souvenirs de son voyage en Chine, pendant ses études.
Sur un coup de tête, elle décide de partir là-bas ? Qu’a-t-elle à  perdre qu’elle n’est déjà perdu de toutes façons ? Reviendra-t-elle ? Elle ne sait pas.
Elle part.

Mon avis :

Le burn-out est un sujet à la mode et il est ici traité du point de vue d’une femme fonctionnaire.
Le sujet est intéressant, l’idée du voyage en Chine pour se ressourcer aussi.
Mais de mon humble avis, il manque quelque chose pour en faire un bon roman. J’ai eu du mal à avoir de l’empathie pour ce personnage de Sarah et pour sa quête de rédemption… 
Le début est pourtant intéressant car on ignore ce qui est arrivé pour que Lucas et Louise disparaissent.. meurtre? accident?  Un certain suspens règne. 
J'engage d'autres lecteurs à me donner leur avis ... s'ils le veulent bien ! 

petit bac 2014 - Copie (2)Je le rajoute dans mon challenge Petit bac à la catégorie " Verbe" et dans la ligne adulte.

Les deux maisons ( Didier Kowarsky, Samuel Ribeyron)



Détails sur le produit


  •  Les deux maisons ( Didier Kowarsky, Samuel Ribeyron)
  • Relié: 24 pages
  • Editeur : Didier Jeunesse (19 janvier 2011)
  • Collection : Les P'tits Didier
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2278062158
  • ISBN-13: 978-2278062157





Ils sont deux petits vieux qui vivent dans une maison en sel. Si le petit vieux est en sel, la petite vieille elle est en sucre. Comme tous les petits vieux, ils se chamaillent. Mais un jour, ils ne se réconcilient pas et le petit vieux met la petite vieille à la porte. Elle va habiter dans une maison de terre…Mais son petit vieux lui manque, alors essaye d’aller le voir mais il la repousse…
Ne pouvant pas pleurer sous peine de finir dissoute… elle émet le souhait que le ciel pleure à sa place.
Aussitôt dit aussitôt fait… son vœu est exaucé… au péril de la maison en sel de son petit vieux….
Se réconcilieront-ils ? à vous de lire pour le savoir !

Mon avis :

Il faut d’abord que j’avoue mon gros « petit faible » pour la collection à Petits Petons de Didier Jeunesse qui permet la découverte de nombreux contes traditionnels. J’adore également les illustrations utilisées qui donnent envie de toucher les personnages, les décors…
Ici les personnages ressemblent un peu aux personnages des dessins animés en pâte à modeler. La mise en page du texte est aussi agréable, variant les tailles de police, les couleurs, l’orientation des mots (parfois écrits en diagonales).
Le texte est à la fois tendre et humoristique.
Grâce aux structures répétitives les enfants participent (parfois malgré eux) à l’histoire, la raconte avec l’adulte, anticipe. 
L’histoire est l’adaptation d’un conte grec. Il est difficile de ne pas craquer devant ces deux petits vieux qui se chamaillent mais dont on sent bien qu’ils s’aiment.
Un livre à faire découvrir aux plus jeunes, et une collection à suivre !

petit bac 2014 - Copie (2)J’inscris ce livre pour le challenge Petit bac 2014 ligne jeunesse et dans la catégorie bâtiment

samedi 5 avril 2014

Thalasso-crime ( Janine Teisson)



 

  •  Broché: 326 pages
  • Collection : D'un espace, l'autre
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 236795013X
  • ISBN-13: 978-2367950136



Quatrième de couverture
« Qui est la personne assassinée dans le bain à bulles à l'institut de thalassothérapie de la Grande Motte ?
Madame Merle a deux noms. Est-elle une tranquille écrivaine pour la jeunesse ou une meurtrière ?
Le plombier est-il un tueur en série ? Un terroriste ? Un enfant perdu ?
Une muette peut-elle témoigner ?
Peut-on pardonner le massacre de son enfant ?
Et celui de son enfance ? Combien y a-t-il d'assassins ? Et de meurtres ?
Qui va gagner la coupe du monde de foot ?
Toutes ces questions trouvent leurs réponses dans ce roman foisonnant où les personnages et les mobiles des crimes s'entrecroisent, où le passé meurtrier sème la mort mais aussi l'espoir d'une autre vie pour les survivants.

Mon avis :
Je dois dire pour commencer que je n’ai pas terminé ce livre, emprunté à la médiathèque dans le cadre du comité des petits éditeurs.
Je l’avais choisi pour le titre, le fait qu’il ait été écrit par une femme, française. J’avais également été séduite par l’idée de départ  d’un meurtre dans une salle de soin d’un centre de thalasso…
Malheureusement je trouve que l’auteur se perd. On part d’une enquête sur le meurtre d’une femme, qui organisait dans le centre de thalasso des parties «  fines » et on se retrouve avec une histoire de crime lié à la guerre d’Algérie, au GIA… mais sans que ce lien soit naturel dirai-je. Il tombe un peu comme un cheveu sur la soupe….
J’ai quand même apprécié le style de l’auteur, les personnages des inspecteurs et aussi l’idée qu’un des personnages de l’histoire soit une femme  auteur de polar au passé troublé. 


Je rajoute ce livre pour le challenge thrillers et polars 

Oh non George (Chris Haughton)



 Détails sur le produit



  •  Oh non George (Chris Haughton)
  • Album: 40 pages
  • Editeur : Thierry Magnier Editions (10 mars 2012)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2364740509
  • ISBN-13: 978-2364740501




George est le chien de Harris. Harris doit aller faire des courses et le laisse donc seul, non sans lui avoir fait promettre d’être sage…
Oui mais voila, comment être sage quand on croise successivement dans la maison, un gros gâteau (miam miam !!), un chat (un chouette compagnon de jeux !!) et un pot de fleurs (quel plaisir de plonger ses pattes dans la terre)….
Heureusement Harris est un gentil petit maître et, malgré les bêtises de George pendant son absence, il décide de l’emmener en promenade dehors… George résistera-t-il aux multiples tentations qu’offre la rue ??

Mon avis :

Comment ne pas craquer devant George ? 
On se retrouve dans ce chien qui essaie de résister à ses désirs, il sait que manger le gâteau posé sur la table est une bêtise, mais il ne peut s’en empêcher. On se retrouve un peu en lui, et on le comprend ((un peu comme quand on dit aux enfants de ne pas sauter dans les flaques alors que nous aussi on le faisait quand on était petit et que (avec les chaussures adéquates) on le referait bien.)
J’aime beaucoup la structure répétitive de ce livre qui permet dans une «  deuxième partie » à George de se retrouver confronter aux mêmes démons et d’y résister, avec toute la fierté qui en découle. Ainsi les enfants peuvent voir que oui, parfois on fait des bêtises, mais il est possible ensuite de réfléchir et ne pas la refaire quand on est confronté de nouveau à la tentation….
J’aime bien aussi la fin, qui laisse place à toutes les suppositions possibles : George fouillera-t-il dans la poubelle ???? Elle évite à ce livre de tomber dans le coté moralisateur : «  ce n’est pas bien les bêtises ! » pour privilégier la réflexion. ( Et cela sans avoir à assener à nos chères têtes blondes ou brunes la pensée d’Epitecte citée en début d’album : « Penser est facile. Agir est difficile. Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. Nul homme n'est libre s'il ne sait se maîtriser. »)

Enfin j’ai adoré les illustrations colorées, modernes de cet album. Pas de fioritures, mais des traits simples qui traduisent bien les émotions et réflexions de George.

petit bac 2014 - Copie (2) 
 J’ajoute ce livre à au challenge petit bac, pour la ligne jeunesse, dans la catégorie «  Prénom ». 

jeudi 3 avril 2014

Aux anges (Francis Dannemark)



 


  •  Aux anges (Francis Dannemark)
  • Broché: 224 pages
  • Editeur : ROBERT LAFFONT (3 avril 2014)
  • Collection : ROMAN
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2221141393
  • ISBN-13: 978-2221141397


Il est des voyages dont on ne revient pas indemne.
Il est des rencontres qui vous permettent de vous rencontrer vous-même.
Tout parait planifié, écrit entre Pierre et Florian. Après 30 ans d’absence, ils viennent de se retrouver chez des amis communs. Florian propose à Pierre de lui servir de chauffeur pour un voyage de travail. L’occasion d’allier l’utile à l’agréable.
Mais voila, Florian est le champion des raccourcis.

Mon avis :
Douceurs, apaisement, espoir, espérance sont les mots qui me sont venus en refermant ce livre.
Le cadre d’abord est enchanteur : quoi de plus propice à la rêverie, aux discussions à bâtons rompus qu’un voyage en voiture avec un ami…qui aime les raccourcis (le petit chemin qui mène à la mer comme on dit chez moi !)
Et puis j’ai adoré la maison/château de la Comtesse Di Castelcampo. Un château en ruine qui ressemble à une auberge espagnole couplée d’une arche de Noé.
Et surtout ce sont les personnages rencontrés par Florian et Pierre qui mont séduite. Ils sont attachants, ouverts, tolérants, plein d’humour, d’espérance et de foi en l’humanité. Avec eux tout semble possible, normal. La vie à leur coté semble simple et belle.
Enfin j’ai adoré le style de Mr Dannemark, sans fioriture.
Il suffit de se laisser prendre par la main (une main amie !!!!) et de se laisser porter … aux anges !
Merci Mr Dannemark pour ce doux moment de lecture, votre livre, et votre dédicace !


Citations :
« Dieu a inventé le vent pour qu’il fasse tomber les feuilles mortes, sinon les arbres auraient l’air de quoi quand revient le printemps ? »

Mais si une personne sans raison ni explication, vous aime du plus profond de son cœur, et que vous l’aimez de la même manière, alors la vie n’est plus une suite de jours qui passent mais une merveille à chaque seconde »

«  Il n’y a ni détours ni raccourcis. Il y a juste que chaque vie est un chemin qui ne ressemble à aucun autre. »