lundi 29 juillet 2013

Nobody ( Dan Wells)




  •  Nobody  ( Dan Wells)
  • Broché: 332 pages
  • Editeur : Sonatine (13 juin 2013)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2355841888
  • ISBN-13: 978-2355841880


  


John Cleaver n’est pas un adolescent américain comme les autres.
A 15 ans il a déjà tué à deux reprises. Mais ne lui dites pas qu’il est un sérial killer ; car à force de les étudier les sérials killers, il les connait bien et même il les chasse. Il chasse plus particulièrement les démons, qui s’en prennent à des victimes innocentes.
Cette fois, il poursuit un tueur qui a pour marotte de couper les mains, la langue de ses victimes et de leurs planter des pieux dans le dos. Qui est-il ? Pourquoi fait-il ça ?

Mon avis :
J’ai été déstabilisée par ce livre. D’abord parce que c’est le troisième opus d’une série dans je n’ai pas lu les précedents tomes.Hors le héros-narrateur y fait beaucoup de référence.
Ensuite parce qu’on nage entre le réel et la fiction, entre meutriers réels et démons fantastiques.
Cependant, j’ai aimé l’idée de l’ado sociapathe qui mène l’enquete. J’ai aimé l’hidée du héros qui, à ses heures perdues, aide sa mère à préparer les cadavres du funérarium qu’elle tient .
J’ai été sensible à l’humour noir du héros, à ses réflexions sur l’adolescence, à sa façon d’éluder les questions auxquelles il ne veut pas répondre.
J’ai aussi apprécié le personnage de la mère de John Cleaver et le titre ( quand je l’ai compris)… mais je reste peu convaincue….
Peut être devrais-je lire les autres opus pour mieux comprendre. 

Merci aux éditions SOnatines de me l'avoir fait parvenir. 
Je l'inscris à deux challenges; thrillers et polars , et lire sous la contrainte
challenge Lire sous la contrainte 

 

mardi 16 juillet 2013

Le jugement dernier ( Stéphane Haumant)





  •  Le jugement dernier ( Stéphane Haumant)
  • Broché: 380 pages
  • Editeur : J EDITIONS (2 mai 2013)
  • Collection : ARTICLES SANS C
  • Langue : Français
  • ISBN-13: 979-1090278400





Dimanche 2 février, 12h. A Sao Paulo une bombe explose sur la place de la République. La bombe a crée un cratère de 5m de profondeur sur 50 m de diamètre. Le bilan est lourd, et l’accès au lieu du massacre interdit et masqué par des grandes bâches.  Que cachent les autorités en interdisant l’accès aux journalistes ?
Le même scénario se reproduit au Etats-Unis, mettant la police et les journalistes sur les dents.
En enquêtant, Balthazar Baker (directeur adjoint du FBI chargé de la sécurité nationale des Etats-Unis et Donatien Chantôme, reporter au Journ@l s’aperçoivent d’une chose. Ce ne sont pas des simples terroristes qui ont commis ces attentats. lls vont être amenés à se rencontrer, à collaborer et à suivre la trace d’un livre historique : «  le codex Lucis ».

Mon avis :
Je ne suis pas naturellement portée vers ce genre de livre mais j’ai été agréablement surprise.
D’abord par le style de l’auteur qui est assez plaisant à lire.
Bien que journaliste et reliant son histoire à des faits historiques, il ne noie pas le lecteur sous une masse d’informations. Il arrive à rester clair et à aller à l’essentiel.
Du point de vue de l’histoire, elle parait assez crédible. Et la fin est assez inattendue.
La quatrième de couverture laissait à penser que les deux personnages : le policier américain et le journaliste français allait se lier d’amitié …. ( comme il est de coutume dans ce genre d’enquête) mais finalement j’ai été un peu «  déçue » sur ce point. Les deux personnages enquêtent finalement un peu chacun de leur coté même s’ils se croisent. Mais c’est un avantage de ce livre. Ils restent un peu indépendants et cela permet de mettre l’accent sur l’enquête en elle-même et pas sur les relations entre les deux personnages.
Une lecture agréable donc.
Je l’inscris pour la deuxième session du challenge Thriller et polar. 
Merci à Mr Paris de m'avoir fait parvenir ce roman.
Challenge Thrillers et Polars 
 

Lucha ( Leyla Mleyki Abdeljaouad)



Lucha (  Leyla Mleyki Abdeljaouad)
  • Broché: 206 pages
  • Editeur : Arabesques (1 septembre 2012)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 9938070086
  • ISBN-13: 978-9938070088





Résumé de l’éditeur :
Médecin, Lucha est une tunisienne poussée par l’envie impérieuse de venir en aide à la communauté palestinienne des territoires occupés. Après maintes épreuves et en dépit de l’hostilité de l’administration d’accueil, elle réussit à vivre une véritable immersion salvatrice autant pour elle que pour les palestiniens pris au piège sur leur propre terre. L’existentiel et l’humanitaire donnent à ce texte une immense teneur émotionnelle.

Mon avis
Encore un livre dont je ne sais pas quoi penser.
En fait on peut «  couper » ce livre en deux parties.
Dans la première, on suit la vie de Lucha, une jeune médecin, ses amours. C’est une jeune femme passionnée et en même temps très équilibrée. Elle s’interroge sur sa vie sur ses choix.
Un jour elle a un accident, qui la rend amnésique…. et qui change sa vie. A partir de là (et c’est la que commence la deuxième partie de l’histoire), elle décide de s’engager dans l’humanitaire. Pour retrouver une petite fille qu’elle a aperçue à la télé et qui l’a touché.
Elle s’envole pour la Palestine et se retrouve aux prises avec l’histoire. J’ai moins aimé cette deuxième partie. J’ai eu l’impression d’une deuxième histoire quasiment, deuxième histoire dont la chute m’a laissé sur ma faim….
Quelques belles citations demeureront :
« Fait on peur aux autres quand on n’a pas besoin d’eux, que leur sollicitude est inutile, que leurs efforts sont vains ? »
«  La mélancolie étendit soudain ses voiles, elle se sentie happée par un sentiment de langueur, de lassitude à la fois et de détresse. »
«  Qu’est ce qu’une personne mure ? Une personne dont on prévoit le comportement ? Une personne qui renonce à ses rêves ou encore une personne qui se conforme aux dogmes de la société ? »
« Le deuil ce n’est pas de perdre l’autre, c’est d’apprendre à vivre sans lui. »
Livre lu dans le cadre du comité des petits éditeurs de ma médiathèque...
 

lundi 15 juillet 2013

VIII ( Harriet Castor)



 

  •  VIII ( Harriet Castor)
  • Relié: 420 pages
  • Editeur : MA Editions (22 mai 2013)
  • Collection : Pôle roman
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2822401896
  • ISBN-13: 978-2822401890
  • Dimensions du produit: 24 x 15,4 x 3,4 cm




Résumé :
Henri 8 est encore un enfant quand il doit fuir en pleine nuit avec sa mère pour la Tour de Londres.
Il est le deuxième fils d’Henri VII, et son père lui préfère son ainé, n’hésitant pas à l’humilier.
Sa mère, Elisabeth est hantée par la disparition de son jeune frère. Est-il mort ? Est-il vivant ? Elle s’inquiète également pour l’avenir de son royaume. Henri Vii sera-t-il renversé ? Restera-t-il au pouvoir ? Elle en vient à demander à un prêtre, en cachette, quelles sont les prophéties qui courent en ville. C’est lors d’un de ces rendez vous clandestins, qu’il surprend, que le jeune Henri entend deux prophéties qu’il prend pour lui.
« Le sauveur tant attendu viendra, puissant, valeureux et pieux. O souverain béni, tu es l’élu de Dieu et toute résistance cèdera sur ton passage ». Et «  York sera roi ».
D’une façon ou d’une autre il sera roi et grâce à Dieu.
Le jeune Henri est également hanté par la vision d’un jeune enfant cadavérique.

Mon avis 
Je ne suis pas amatrice de biographie mais j’ai bien accroché à celle-ci. Sans doute est-ce lié au choix de l’auteur de l’écrire à la première personne. Nous découvrons l’histoire de d’Henri 8 par sa voix. Cela rend le personnage, pourtant cruel (c’est lui qui a inspiré Barbe Bleue quand même), plus humain. Comment ne pas comprendre son envie de prouver quelque chose quand on sait comment son père le mésestimait, le «  cassait » ? Comment ne pas comprendre ses décisions quand on sait qu’il entend un garçon mort lui parler ? Comment ne pas comprendre son envie de laisser une descendance, son obsession d’avoir un fils quand on sait combien sa première femme fait de fausse couche et à quel point il est entouré de morts ?
J’ai bien apprécié cette biographie (malgré quelques passages un peu moins passionnant) d’un roi que je ne connaissais pas.
Merci à Gilles Paris pour son envoi !!!!
Je rajoute ce titre au challenge : i love london 
I_love_London_logo 

C’est moi qui éteins les lumières ( Zoyâ Pirzâd)



 

  •  C’est moi qui éteins les lumières ( Zoyâ Pirzâd)
  • Broché: 287 pages
  • Editeur : Zulma (2 mai 2013)
  • Collection : LITTERATURE Z/A
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2843046424
  • ISBN-13: 978-2843046421





Dans le quartier arménien d’Abadan ( en Iran) vit Clarisse. Elle est mariée à Artush, et ils ont 3 enfants : les jumelles Arsineh et Armineh, et un fils Armen. Autour d’eux il y a aussi Alice, sa sœur et sa mère.
Et arrive dans ce quartier tranquille, Emilie, et son père ( Emile) et sa grand-mère. Cette arrivée chamboule toute la petite vie de Clarisse car Armen tombe sous le charme d’Emilie, et Clarisse n’est pas insensible à celui d’Emile.

Mon avis :
Vous cherchez une histoire d’amour, avec une femme iranienne qui se demande si elle doit quitter son mari  et ses enfants ?
Passez votre chemin. !!!!!!
Vous cherchez l’histoire d’une femme qui s’interroge sur sa vie, sur ses vrais désirs, sa place dans la famille, la place qu’elle y occupe, le tout sans poncif et sans mièvrerie ? Alors arrêtez vous.
ON ne peut que s’attacher à Clarisse et la suivre dans ses interrogations. Deux voix cohabitent en elle : celle qui critique tout ce qu’elle fait et l’autre qui essaie  de temporiser la situation, les décisions qu’elle prend. Elle est partagée entre son envie de faire plaisir à tout le monde, et son envie qu’on la laisse vivre de temps en temps. Elle aimerait que ses proches reconnaissent plus ce qu’elle fait, ses efforts et l’aide plus.
Les autres personnages sont également très attachants : que ce soit la sœur célibataire qui pense que tout les hommes sont attirés par elle et qui invite tout le monde chez Clarisse, la mère qui critique tout, les jumelles qui font tout à l’identique, le fils qui tombe amoureux et qui s’amusent à enquiquiner ses sœurs….
LE ton est léger, l’humour présent. Il émane également de cette histoire, des relations entre les personnages un grand amour…
A découvrir ! Un parfait livre de vacances, pas prise de tête, et agréable à lire 

je propose ce titre pour le challenge: un mot des titres, session 17 
Un mot des titres

dimanche 14 juillet 2013

Des vies sans couleurs ( Zoë Wicomb)



 

  •  Des vies sans couleurs ( Zoë Wicomb)
  • Poche: 285 pages
  • Editeur : 10 (3 juin 2010)
  • Collection : Domaine étranger
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2264048255
  • ISBN-13: 978-2264048257





C’est un livre bien étrange que celui-ci. J’avoue ne pas trop savoir si j’ai aimé ou pas.
L’histoire :
 Au Cap, une jeune femme mène une vie sans relief, sans couleurs. Elle tient une agence de voyage mais affirme elle-même ne pas aimer voyager. Elle s’occupe de son père, ancien régulateur de la circulation. Elle le regarde vieillir, changer. Elle affirme avoir eu «  une enfance atypique ; ses parents se haïssaient et c’est sa mère comme toutes les mères qui lui a donné son sentiment d’insécurité. ».
Sa vie se trouve bouleversée le jour où elle découvre la photo d’une certaine Patricia Williams, à la une d’un journal. Elle ne sait pas pourquoi mais ce visage lui dit quelque chose. Est-ce la ressemblance lointaine avec Tokkie, une vieille dame qui s’occupait d’elle dans son enfance ? Une chose est sûre, Marion, notre héroïne en perd le sommeil. Elle doit enquêter. …
Pour ça, elle est obligée de faire appel à ses connaissances, à changer sa façon d’être.

En fait, dans ce livre on assiste à l’éclosion, à la naissance du personnage de Marion. Elle est au départ très solitaire, seule même. Elle communique peu avec les autres et observe de façon très critique les relations humaines (amicales, amoureuses, familiales).
Et puis, la photo l’amène à s’interroger sur son enfance, une enfance sans couleurs, avec très peu de contact humain. Une enfance entre des parents qui semblaient se haïr. Sa quête de la vérité l’oblige à demander de l’aide et aussi à relire avec un autre point de vue l’histoire de ses parents. Sont-ils vraiment ces blancs bien sous tous rapports ? Marion est obligée de relire l’histoire de son pays,, et plus particulièrement le point concernant la «  reconnaissance » des noirs et des blancs. Qui est métisse ? Qui est blanc ? Quelle définition donner à ces deux termes ?
J’ai bien aimé ces points : l’éclosion de Marion, les découvertes qu’elle fait quant à son histoire familiale.
J’ai également découvert certains faits de l’histoire du Cap, des relations «  noirs-blancs » dans les années 50.
Mais j’ai trouvé le style de l’auteur peu agréable, chaotique. Si à certains moments (particulièrement concernant le récit de la vie des parents de Marion) le style est fluide, à d’autres il est lourd. J’ai eu l’impression souvent de ne pas avancer, que l’auteur alignait des phrases un peu au petit bonheur la chance. Une écriture laborieuse. De plus, les changements de points de vues des personnages est souvent peu clair.
Un bilan en mi teinte. 

J'ai lu ce livre dans le cadre du challenge lire sous la contrainte ' négation"
challenge Lire sous la contrainte

mercredi 10 juillet 2013

Témoin Hostile ( Rebecca Forster)




  •  Témoin Hostile ( Rebecca Forster)
  • Relié: 420 pages
  • Editeur : MA Editions (20 mars 2013)
  • Collection : Pôle roman
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2822401985
  • ISBN-13: 978-2822401982
  • Dimensions du produit: 24 x 15,4 x 3,4 cm




Josie Bates est avocate dans la petite ville D’Hermosa Beach. Depuis plusieurs années elle se contente de petites affaires. Elle est hantée par une cliente, qui une fois remise en liberté grâce à elle, a tué ses enfants.
C’est donc avec beaucoup d’appréhension qu’elle accepte de défendre Hannah Sheraton, à la demande de sa mère, une ancienne camarade d’université.
Hannah n’a que 16 ans mais elle va être jugée comme une adulte et risque la peine de mort. EN effet elle est accusée du meurtre de son grand père par alliance, juge à la cour Suprême de Californie.
Josie s’interroge sur la culpabilité de sa cliente qui semble souffrir de gros problèmes psychologique. Elle ne s’entendait plus avec son «  grand-père » et de plus, sa mère et son beau père insistent pour qu’elle soit internée, comme s’ils savaient quelque chose qu’elle ignore.

Mon avis :
Quand j’ai vu la mention «  suspens  romantique » sur la couverture j’ai eu un peu peur. Je n’avais pas envie d’une histoire gnan gnan ….
J’ai bien fait de me lancer. J’ai vraiment aimé les différents personnages de ce livre.
Celui de Josie , qui affirme être persuadée de l’innocence de sa cliente mais qui continue de douter et de croire en même temps. Ayant elle-même eu une relation difficile avec sa mère, (qui a disparue sans laisser d’adresse), elle est d’autant plus touchée par la détresse et les difficultés relationnelles d’Hannah. Elle essaie d’en tenir compte dans sa façon d’agir avec elle tout en luttant pour être objective.
J’ai été touchée par le personnage d’Hannah. On sent une adolescente qui se cherche, qui souffre sans arriver à faire entendre sa souffrance  par les adultes.
Elle semble prise au piège dans quelque chose qui la dépasse mais qui est une clé pour son avenir. Elle est plus que touchante. On veut l’aider et en même temps on se demande si elle est vraiment innocente…..
Un livre à lire
Mon premier thriller pour l’édition 2013-2014 du challenge thrillers et polars. 
0 Challenge Thrillers & Polars 2014 Liliba 5

vendredi 5 juillet 2013

La maison en pain d’épices ( Carin Gerhardsen)



La maison en pain d'épices - Carin Gerhardsen


  •  La maison en pain d’épices ( Carin Gerhardsen)
  • Poche: 334 pages
  • Editeur : 10 (16 février 2012)
  • Collection : 10/18
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2264057068
  • ISBN-13: 978-2264057068



Une vieille femme rentre chez elle après une opération du col du fémur. Elle découvre le cadavre  d’un homme dans sa cuisine. Après enquête, le commissaire Sörjberg  découvre qu’il s’agit d’un agent immobilier de 44 ans. La vieille femme ne le connaît pas.
Un homme se remémore ses années à l’école maternelle. Il y était le souffre douleur de ses camarades. Il est devenu un adulte solitaire et isolé ; invisible aux yeux de ses collègues.
Un criminel écrit son journal, jour après jour, et nous décrit de quelle façon il assassine ceux qui, enfants, l’ont persécuté.
Quel lien ? Qui est le tueur ? Comment arrêter cette série de meurtre ?

Mon avis
Encore un polar suédois ? Non, à mon humble avis ( encore que je n’en ai pas lu beaucoup !!!).
Le style de ce thriller est assez innovant : l’alternance des points de vue des différents enquêteurs, des victimes, du meurtrier  donne une vrai dynamisme à l’enquête. La lectrice que je suis a été embringuer  dans cette histoire et maintenue en haleine jusqu’au bout !!
Les personnages ont beaucoup de relief. A la lecture des lignes du journal de l’assassin, des sévices qu’il a subit, on en vient presque à comprendre ses actes et sa barbarie.
Les enquêteurs ont également leur point de vue, leurs soucis…. leurs faiblesses, leurs affects !
A découvrir !!!

Ce sera ma dernière lecture pour le challenge  thrillers et polars 2012-2013.
Un grand merci à Liliba de l’avoir organisé. Grâce à ce challenge j’ai découvert le monde des thrillers, des polars qui avant se limitait pour moi à Mary Higgins Clark…..
Je me réinscrirai bien pour le suivant si c’est possible, en tout cas je continue de dévaliser le rayon polar de ma librairie ! 
Challenge Thrillers et Polars 

lundi 1 juillet 2013

Mãn ( Kim Thùy)





  •  Mãn ( Kim Thùy)
  • Broché: 143 pages
  • Editeur : Liana Levi (7 mai 2013)
  • Collection : LITTERATUR
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2867466792
  • ISBN-13: 978-2867466793



Elle a eu trois mères : celles qui l’a conçue, celle qui l’a recueillie, et celle qui l’a élevée avant qu’elle ne doive s’enfuir au Canada avec d’autres Boat People, à 10 ans. Elle a aussi une mère de cœur à Montréal. Une «  mère qui l’a ouverte au monde, aidée à s’épanouir.

Mon avis :
Il y a des livres qu’on aime sans pouvoir expliquer pourquoi. … celui-ci en fait partie.
Est-ce le style, à la fois simple, naïf, poétique et réaliste qui a bercé ma lecture et emporté au canada ?
Est-ce l’histoire d’amitié entre Julie et l’héroine ? Amitié qui permet à cette dernière de ‘ouvrir au monde, de s’épanouir et d’apprendre à dire «  Je t’aime » ? Est-ce le récit de sa vie, des traditions de son pays, de la cuisine vietnamienne ?
Je ne saurais dire… sinon que j’ai aimé !!!!!!!!!!!!!
Un vrai coup de cœur


Une fois n'est pas coutume, un peu de culture: 
"Kim Thúy a quitté le Vietnam avec les boat people à l'âge de dix ans. Elle a été couturière, interprète, avocate, propriétaire du restaurant Ru de Nam, chroniqueuse culinaire pour la radio et la télévision (À la di Stasio, Des kiwis et des hommes, etc.).

Elle vit aujourd'hui à Montréal et se consacre à l'écriture. Ru, son premier livre, est paru aux Éditions Libre Expression en octobre 2009. Best-seller au Québec et en France, ce livre a vu ses droits vendus dans vingt pays, en plus d'avoir été finaliste de plusieurs prix littéraires, dont le Prix des cinq continents de la francophonie 2010 et le Grand Prix littéraire de la relève Archambault. Il a obtenu le prestigieux prix du Gouverneur général 2010, le grand prix RTL-Lire 2010 et le grand prix du Salon du livre de Montréal 2010. Son deuxième livre, À toi, coécrit avec Pascal Janovjak, est paru en septembre 2011 chez Libre Expression.  "
http://www.editions-libreexpression.com/kim-thuy/auteur/thuy1000