A quand les bonnes nouvelles ? Kate Atkinson

• A quand les bonnes nouvelles? ( Kate Atkinson)
• Poche: 466 pages
• Editeur : Le Livre de Poche (1 octobre 2009)
• Collection : Littérature & Documents
• Langue : Français
• ISBN-10: 2253126543
• ISBN-13: 978-2253126546

Joanna Masson, 6 ans vit avec sa mère, sa sœur de 8 ans et son frère âgé de quelques mois, dans une maison un peu isolée du Devon.

Un jour d’été, alors qu’ils rentrent à pieds des courses, un inconnu les massacre, sans raison. Joanna en réchappe miraculeusement en se cachant dans le champs voisin.

Trente ans plus tard elle est devenue le docteur Hunter. Elle est mariée et mère d’un petit garçon de quelques mois. C’est Reggie qui s’occupe de lui. Elle a 16 ans, en parait 12 et a une histoire familiale plutôt tumultueuse.

C’est la seule a s’inquiéter quand le docteur disparait, juste après la libération du meurtrier de sa famille. Elle tente de prévenir une Louise Monroe, inspectrice de policer qui est plus préoccupée par une autre affaire ( un père de famille qui veut tuer sa femme)

Mon avis :

J’ai été déçue par ce livre. Le scénario de base m’attirait : un meurtrier relâché, une de ses victimes qui en a réchappé qui disparait… Rajouter un détective privé qui veut savoir s’il est ou non le père du fils de son ex, une catastrophe ferroviaire… Mais l’auteur se perd. Trop de personnages qui ont des liens parfois tirés par les cheveux, et l’enquête principale qui passe au second plan, et qui est bâclée dans les dernières pages. Tout se dissout, tout se délaye même….

Seuls points positifs : l’humour plus que présent et le personnage de Reggie, un peu loufoque mais très attachant !!!!!!!!!

Citations :

«  Le bébé n’était pas difficile : la bouillie de légumes (patates douces et avocat) sentait la vieille chaussette et ressemblait à de la diarrhée de chien »

« Jamais elle n’aurait cru qu’à quarante ans elle se retrouverait soudain dans une famille possédant deux bagnoles, vivrait dans un appartement rupin et porterait un diam gros comme le rocher de Gibraltar. La plupart des gens verraient comme un but ou une amélioration m’ais Louise avait l’impression d’avoir pris la mauvaise route sans même remarquer le tournant. »

« un café ?[…] en versant des grains dans le doseur d’une machine à expresso couteuse qui faisait tout depuis moudre les grains jusqu’à faire mousser le lait, donnait l’impression qu’elle ferait aussi pousser les plants de café si on lui demandait gentiment. »

 Je le rajoute pour le challenge thrillers et polars... 

http://liliba.canalblog.com/archives/2012/07/04/24621491.html