- Peine perdue (Olivier Adam)
- ISBN : 9782081314214
- Dewey : 843
- Collection : Littérature française
- Nombre de pages : 415
- Support : Broché
Résumé
de l’éditeur
Les
touristes ont déserté les lieux, la ville est calme, les plages à l'abandon.
Pourtant, en quelques jours, deux événements vont secouer cette station
balnéaire de la Côte d'Azur : la sauvage agression d'Antoine, jeune homme
instable et gloire locale du football amateur, qu'on a laissé pour mort devant
l'hôpital, et une tempête inattendue qui ravage le littoral, provoquant une
étrange série de noyades et de disparitions. Familles des victimes, personnel
hospitalier, retraités en villégiature, barmaids, saisonniers, petits mafieux,
ils sont vingt-deux personnages à se succéder dans une ronde étourdissante.
Vingt-deux hommes et femmes aux prises avec leur propre histoire, emportés par
les drames qui agitent la côte
Mon
avis :
Voila un livre que j’ai
lu en juin dernier pour le prix Cultura… et voici les commentaires que j’en ai
fait « à chaud » sur la fiche que j’ai renvoyé à Cultura.
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personnages c’est un peu beaucoup et j’ai parfois eu un peu de mal à me
repérer, à me rappeler qui était qui.
Ce livre est construit comme un puzzle. Petit à petit, personnage après personnage, l’auteur met en place les différentes pièces de cette histoire. Et au final on s’aperçoit que pratiquement tous les personnages sont liés autour d’Antoine. Plus que la tempête c’est l’agression d’Antoine dans son camping qui est le point de départ de l’histoire, le détonateur.
Ce livre est construit comme un puzzle. Petit à petit, personnage après personnage, l’auteur met en place les différentes pièces de cette histoire. Et au final on s’aperçoit que pratiquement tous les personnages sont liés autour d’Antoine. Plus que la tempête c’est l’agression d’Antoine dans son camping qui est le point de départ de l’histoire, le détonateur.
Ce
livre dépeint quand même un monde assez triste et noir. Le bonheur n’est pas de
mise et il est a déconseillé en cas de tendance au spleen.
J’ai trouvé également quelques longueurs. D’autant que le style est particulier. On se retrouve tour à tour dans les pensées de chacun, qui nous sont livrées quasiment telles quelles…, D’un coté cela rend l’histoire assez vivante, dynamique mais à d’autres moments cela alourdit, en donnant de long monologue sans point ou sans retour à la ligne, un texte peu aéré.
J’ai trouvé également quelques longueurs. D’autant que le style est particulier. On se retrouve tour à tour dans les pensées de chacun, qui nous sont livrées quasiment telles quelles…, D’un coté cela rend l’histoire assez vivante, dynamique mais à d’autres moments cela alourdit, en donnant de long monologue sans point ou sans retour à la ligne, un texte peu aéré.
Après quelques mois je
garde de ce livre le souvenir d’une lecture « poussive » pendant
laquelle j’ai eu l’impression de ne pas avancer !
ça a encore l'air d'être gai, en effet! Mais bon, je reconnais que c'est un bon auteur. Seulement trop à broyer du noir pour moi la plupart du temps.
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