"Tous les soleils à l'aube dorment encore un peu engourdis, nonchalants, ils se moquent bien du feu du jour qui les attend, ils chassent les ombres des hommes et des guerres, tous les soleils à l’aube sont comme de grands enfants qui n’ont que faire du temps…"
Je ne sais pas de qui est ce poème mais je trouve ces mots jolis.
Tout comme j'ai apprécié le film " Tous les soleils" que j'ai vu hier au ciné.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Il y a Alessandro, prof italien de musique baroque. Il vit à Strasbourg avec Irina sa fille qui a 15 ans. On découvre pendant le film que la maman d'Irina est morte 5 mois après la naissance de l'adolescente, dans un accident. Dans leur appartement il y a aussi le frère d'Alessandro, un certain Crampone, qui vit en peignoir et à jurer de ne plus parler italien tant que Berlusconi serait au pouvoir.
Autour d'eux gravitent les amis d'Alessandro, les patients de l'hôpital ou Alessandro va faire la lecture, une postière, un policier...
Alessandro s'occupe de tout ce petit monde, en oubliant sa propre vie. Il vit dans le souvenir de sa femme morte et n'a pas vu que sa petite fille avait bien grandit. ( et que (non, à quinze ans on ne porte plus de culotte avec des poneys). Et tous ceux qui l'aiment lui disent et lui répètent qu'il devrait penser à faire son propre bonheur....
Irina d'abord parce qu'elle étouffe de vivre dans le souvenir de cette mère qu'elle n'a pas connue. Son frère qui a envie qu'il soit heureux; et les patients l'hôpital qui lui disent de vivre avant qu'il ne soit trop tard...
Une fois rentrée dans l'histoire ( la scène ou il danse la tarentelle sur le bureau est assez sympa!! et aide bien), je me suis laissée portée. Et j'ai pu apprécié la relation de Irina avec son père, la douce folie du frère.
Alors ce n'est peut-être pas un film intellectuel mais je ne pense pas que ce soit ce que Philippe Claudel cherchait à faire; juste un film gentillet qui m'a redonné un peu d'espoir dans la vie. Un jolie petit conte je dirais..... et on a envie de croire que les contes de fées se réalisent, non ?
Avec une bande originale assez dynamisante je trouve...
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Il y a Alessandro, prof italien de musique baroque. Il vit à Strasbourg avec Irina sa fille qui a 15 ans. On découvre pendant le film que la maman d'Irina est morte 5 mois après la naissance de l'adolescente, dans un accident. Dans leur appartement il y a aussi le frère d'Alessandro, un certain Crampone, qui vit en peignoir et à jurer de ne plus parler italien tant que Berlusconi serait au pouvoir.
Autour d'eux gravitent les amis d'Alessandro, les patients de l'hôpital ou Alessandro va faire la lecture, une postière, un policier...
Alessandro s'occupe de tout ce petit monde, en oubliant sa propre vie. Il vit dans le souvenir de sa femme morte et n'a pas vu que sa petite fille avait bien grandit. ( et que (non, à quinze ans on ne porte plus de culotte avec des poneys). Et tous ceux qui l'aiment lui disent et lui répètent qu'il devrait penser à faire son propre bonheur....
Irina d'abord parce qu'elle étouffe de vivre dans le souvenir de cette mère qu'elle n'a pas connue. Son frère qui a envie qu'il soit heureux; et les patients l'hôpital qui lui disent de vivre avant qu'il ne soit trop tard...
Une fois rentrée dans l'histoire ( la scène ou il danse la tarentelle sur le bureau est assez sympa!! et aide bien), je me suis laissée portée. Et j'ai pu apprécié la relation de Irina avec son père, la douce folie du frère.
Alors ce n'est peut-être pas un film intellectuel mais je ne pense pas que ce soit ce que Philippe Claudel cherchait à faire; juste un film gentillet qui m'a redonné un peu d'espoir dans la vie. Un jolie petit conte je dirais..... et on a envie de croire que les contes de fées se réalisent, non ?
Avec une bande originale assez dynamisante je trouve...
J'ai très envie de le voir!
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