- Luwak (Pierre Debré)
- Broché: 208 pages
- Editeur : Alma Editeur (24 août 2017)
- Langue : Français
- ISBN-10: 2362792331
- ISBN-13: 978-2362792335
- Dimensions du produit: 13,6 x 1,8 x 18,6 cm
Mon résumé :
Igor Kahn est un doux rêveur. Il travaille dans une usine spécialisée dans
la fabrication d’éléments et d’accessoires pour espaces sanitaires.
Discret, respectueux, s’il n’a jamais réussi à lité de véritables liens
avec ses collègues il n’en est pas moins appréciés de tous. Son licenciement
pour raison économique est aussi le jour où il gagne au loto.
Avec son gain, il choisit de quitter pour Bordeaux pour s’acheter une
maison dans un village proche de l’estuaire de la Gironde. Il y découvre le
plaisir de peindre et nouer des relations sociales. Mais un jour, cela ne lui
suffit plus.
Mon avis :
Voici une lecture toute en douceur et plutôt optimiste. On tourne la
dernière page en se disant que, après tout, quand on le veut, tout est
réalisable.
Le personnage de Igor est plutôt attachant. Un peu extraterrestre, ne
sachant pas nouer de liens sociaux, il est quand même très ouvert aux autres et
au monde. Il sait écouter et respecter les différences de chacun. J’ai apprécié
son côté « qui ne tente rien n’a rien », un peu déconnecté du monde
réel.
Quelques critiques cependant.
Le résumé de la quatrième de couverture en dit un peu trop, sans
pourtant dire l’essentiel, sans laisser de suspens.
Je trouve également qu’il manque une dimension au personnage d’Igor, pour en faire un personnage inoubliable (et pour faire de ce livre un coup de cœur). L’histoire aurait eu plus de force, si son côté affectif avait été plus développé, plus présent. J’aurais aimé savoir, pourquoi il a cette difficulté à s’attacher aux autres, à nouer des relations avec les femmes. Cet aspect du personnage est trop survolé et c’est dommage. Peut-être que quelques pages de plus, auraient été nécessaires.
Je trouve également qu’il manque une dimension au personnage d’Igor, pour en faire un personnage inoubliable (et pour faire de ce livre un coup de cœur). L’histoire aurait eu plus de force, si son côté affectif avait été plus développé, plus présent. J’aurais aimé savoir, pourquoi il a cette difficulté à s’attacher aux autres, à nouer des relations avec les femmes. Cet aspect du personnage est trop survolé et c’est dommage. Peut-être que quelques pages de plus, auraient été nécessaires.
Merci à Cultura car c’est dans le cadre de la Sélection Talents Cultura de la Rentrée littéraire que j’ai pu découvrir ce titre !
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