- Petits arrangements avec nos cœurs ( Camille de Peretti)
- Broché
- Editeur : Stock (30 avril 2014)
- Langue : Français
- ISBN-10: 2234070996
- ISBN-13: 978-2234070998
Mon
résumé
A 16 ans, Camille est lycéenne et encore vierge. … jusqu’au
jour où une fille lui annonce qu’un garçon de terminale est amoureux d’elle. Il
s’appelle Stanislas. Camille ne le
connait pas. Elle, elle aime William (qui en aime une autre !)
Finalement, un
peu par dépit elle finit par sortir avec Stanislas. Elle lui offrira son
premier baiser….
Puis elle rompt avec
lui et le retrouve quelques années plus tard. Entre temps
Camille a écrit un livre et s’est mariée avec un dénommé César. Elle divorce de
lui pour filer retrouver Stanislas à Londres.
Et là ….
Mon avis.
Je n’ai pas aimé ce livre. L’ayant reçu dans le cadre du coup de cœur des lectrices de Version fémina, j’ai poursuivi ma lecture jusqu’au bout ; sans cela j’aurais abandonné.
Je n’ai pas aimé ce livre. L’ayant reçu dans le cadre du coup de cœur des lectrices de Version fémina, j’ai poursuivi ma lecture jusqu’au bout ; sans cela j’aurais abandonné.
En fait, (et c’est
rare pour moi ! j’ai d’emblée détesté l’héroïne narratrice. Je l’ai
trouvée manipulatrice, égocentrique et égoïste. Dès le départ, on comprend qu’elle
ne sort avec Stanislas que par dépit, pas par amour. Pourtant elle a
conscience, elle sait que Stanislas l’aime lui. Dans le but d’avoir une
expérience amoureuse, de ne plus être différente de ses copines elle joue la
comédie, fait semblant….
Dans la suite du
livre, quand elle le retrouve, on a vraiment l’impression que c’est uniquement
pour avoir une bonne raison de quitter son mari César qu’elle le rejoint à
Londres.
Tout au long du livre, son comportement avec Stanislas m’a gêné, mise mal à l’aise et même énervée.
Tout au long du livre, son comportement avec Stanislas m’a gêné, mise mal à l’aise et même énervée.
Je comprends aisément tes sentiments de lecture, il est difficile de comprendre le comportement de Camille...
RépondreSupprimerelle m'a enervée ...je l'ai trouvée cruel....et il n'y a que dans les polars que la cruauté ne me dérange pas...
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