samedi 28 septembre 2013

Le sceptre et le venin ( Gérard Hubert-Richou )




  •  Le sceptre et le venin ( Gérard Hubert-Richou )
  • Relié: 420 pages
  • Editeur : MA Editions (9 octobre 2013)
  • Collection : MI.POLE ROMAN
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2822402272
  • ISBN-13: 978-2822402279

Résumé de l’éditeur :
« Des meurtres de la Brinvilliers jusqu'à la Chambre Ardente, L'affaire des poisons écrase la France sous une chape de plomb. La royauté vacille. Madame de Montespan, la favorite de Louis XIV, est elle-même compromise. Pour conserver les faveurs de son royal amant, elle aurait abusé des philtres d'amour et participé à des messes noires durant lesquelles des nouveau-nés sont sacrifiés.
Géraud Lebayle, jeune commissaire au service de monsieur de La Reynie, lieutenant général de la police parisienne, est chargé de la surveillance des trois principales têtes de l'hydre : la Voisin (reine des empoisonneuses), Guibourg (prêtre satanique) et Lesage (alchimiste et faussaire). Une mission capitale au milieu de l'essaim : 400 empoisonneurs répertoriés juste sur Paris, des prêtres douteux, des sages-femmes avorteuses, des apothicaires véreux... Une faune qui se multiplie car le commerce est juteux et sans grands risques ! En effet, une partie non-négligeable de l'aristocratie, de la bourgeoisie, de la noblesse de Cour et les épouses d'officiers constitue l'essentielle de leur clientèle.
Géraud pourra-t-il démêler cet imbroglio sans nuire à la famille royale ? »

Mon avis
Le début de ce livre m’a séduite. Le thème de l’affaire des poisons ( à laquelle je ne connais pas grand-chose je l’avoue à ma grande honte) m’intéressait. J’aime bien les polars un peu historique. Et puis comment ne pas être «  séduite » par le personnage de Géraud Lebayle, commissaire plus que doué dans l’art de se glisser dans la peau de personnage, doué en escrime. Comment ne pas apprécier l’humour du narrateur  qui en plus laisse des pistes.
De plus, le portrait de la police de l’époque n’est pas sans rappelé la police actuelle, soumise à la paperasse, au manque de personnel, au manque d’argent…..
Le vocabulaire est plus recherché, et très adapté à l’époque historique dans laquelle se déroule l’histoire….
Mais….
Mais je ne suis pas allée jusqu’au bout. Est-ce ma fatigue ? mon impatience ? J’abondonne à une centaine de pages de la fin cette lecture trop fastidieuse pour moi. J’ai la sensation de de ne pas avancer, que je n’arriverai jamais au bout de ce livre….. peut être le reprendrais-je d’ici quelques temps ou pendant les vacances, mais je n’y arrive plus. ….. 

Merci à Mr Paris....

2 commentaires:

  1. Je suis à la fois soulagée de lire un autre avis similaire au mien, mais aussi un peu déçue pour l'auteur qui semble bien sympathique.

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    1. je suis d'accord aussi; surtout que je ne suis pas habituée à ce style, et que l'on sent que l'auteur a fait des recherches... s'il a écrit d'autres romans, peut être faudrait il essayer pour ne pas rester sur une mauvaise impression....

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