samedi 17 septembre 2011

L'homme qui m'aimait tout bas ( Eric Fottorino)

Présentation de l'éditeur:
Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale. En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait " à l'ancienne ", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. " Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil ", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui.

Mon avis
Ce livre m'a été prêté par une collègue. Je n'ai pas détesté mais je n'ai pas beaucoup aimé. Je ne me suis pas sentie plus touchée que ça par le personnage d'Eric Fottorino. C'est sans doute une belle histoire d'amour, de reconnaissance entre un fils et père mais je n'ai pas accroché

2 commentaires:

  1. La citation de Montherlant est belle je trouve ...

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  2. Je comprends cette déception.
    Moi j'ai passé une bonne soirée de lecture, sans plus.
    Fottorino a le défaut de parler beaucoup de soi, de sa famille, etc, ce qui est un peu lassant à la longue.
    Je vais me plonger demain dans son dernier bouquin... J'espère qu'il ne va pas remettre le couvert avec son père et son arrière-arrière-grande-tante

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